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Sur le front de Madrid. Une vingtaine d’officiers, fiers et joyeux camarades. Une chanson s’élève, puis une autre, et une autre encore.
Ce jeune lieutenant, à la moustache brune, n’entendit que la première :
Des cœurs partagés
moi, je n’en veux pas ;
et si je donne le mien,
je le donne en entier.
« Quelle résistance à donner mon cœur en entier ! » — Et la prière jaillit, fleuve tranquille et large.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/camino/145/ (19 avr. 2024)