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Tu ne peux pas « monter ». — Ce n’est pas surprenant, après une telle chute… !

Persévère et tu « monteras ». — Rappelle-toi ce que dit un auteur spirituel : ta pauvre âme est comme un passereau qui a encore de la boue aux ailes.

Il faut le soleil céleste et des efforts personnels, menus et constants, pour te débarrasser de ces penchants, de ces effets de l’imagination, de cette lassitude : de toute cette fange qui colle à tes ailes.

Et tu te sentiras libre. — Si tu persévères, tu « monteras ».

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