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La joie chrétienne n’est pas une joie physiologique. Son fondement est surnaturel, et elle se situe au-delà de la maladie et des contrariétés.

 — La joie, ce n’est pas la gaieté folle des grelots ou des bals populaires.

 La joie véritable est quelque chose de plus intime, quelque chose qui nous rend sereins, débordants de bonheur, même si parfois notre visage reste sévère.

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