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L’Église n’a que faire de femmes bonnes ou d’hommes bons. — De plus, celui qui se contente d’être presque… bon, ne l’est jamais suffisamment : ce qu’il faut, c’est être « révolutionnaire ». Face à l’hédonisme, face à la charge de paganisme et de matérialisme qui nous est offerte, le Christ a besoin d’anticonformistes, de rebelles de l’Amour !
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/128/ (22 avr. 2024)