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Tu m’a fait ce commentaire d’un air fanfaron et peu assuré : les uns montent et les autres descendent… Et d’autres — comme moi ! — sont affalés sur le chemin.
Ta nonchalance m’a rendu triste et j’ai ajouté : les fainéants sont traînés par ceux qui montent ; et, d’ordinaire, ils sont remorqués avec plus de force par ceux qui descendent. Songe au pénible égarement dans lequel tu es en train de sombrer ! Le saint évêque d’Hippone l’avait déjà signalé : ne pas avancer, c’est reculer.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/165/ (19 avr. 2024)