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Pour ta gouverne : En une occasion mémorable j’avais fait remarquer à cet homme noble, savant et fort, qu’il mettait en jeu un poste important dans son monde (il allait le perdre) pour défendre une cause sainte que les « gens de bien » combattaient. — D’une voix empreinte de gravité humaine et surnaturelle, qui méprisait les honneurs de la terre, il me répondit : « C’est mon âme qui est en jeu. »
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/441/ (25 avr. 2024)