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D’un ton inquisiteur ils t’ont demandé si tu jugeais ta décision bonne ou mauvaise, une décision qu’eux-mêmes considéraient comme indifférente.

Et, la conscience sûre, tu leur as répondu : « Je sais seulement deux choses : que mon intention est pure et que… je sais bien ce qu’elle me coûte. » Et tu as ajouté : Dieu est la raison et la fin de ma vie, c’est pourquoi je suis certain qu’il n’y a rien d’indifférent.

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