Liste des points

Tu es comme un sac de sable. — Tu ne fais rien de ton côté. Il n’est donc pas surprenant que tu commences à éprouver les symptômes de la tiédeur. — Réagis.

T’amender. — Un peu chaque jour. — Voilà l’effort constant, si tu veux vraiment devenir saint.

Voilà justement ce que doit être ta vie intérieure : commencer… et recommencer.

Une autre chute…, et quelle chute !… Te désespérer ? Non : t’humilier et recourir par Marie, ta Mère, à l’Amour miséricordieux de Jésus. — Un Miserere et haut ce cœur ! — Puis repars !

Une constance que rien ne déconcerte. — Tu en as besoin. Demande-la au Seigneur et fais ce que tu peux pour l’obtenir : c’est un grand moyen pour ne pas t’écarter du chemin fécond où tu t’es engagé.

Tu ne peux pas « monter ». — Ce n’est pas surprenant, après une telle chute… !

Persévère et tu « monteras ». — Rappelle-toi ce que dit un auteur spirituel : ta pauvre âme est comme un passereau qui a encore de la boue aux ailes.

Il faut le soleil céleste et des efforts personnels, menus et constants, pour te débarrasser de ces penchants, de ces effets de l’imagination, de cette lassitude : de toute cette fange qui colle à tes ailes.

Et tu te sentiras libre. — Si tu persévères, tu « monteras ».

Remercie Dieu qui t’a aidé, et réjouis-toi dans ta victoire. — Quelle est profonde la joie de ton âme, quand elle a répondu à la grâce !