Liste des points
Pas de vertu, sans mortification.
Paradoxe : pour Vivre, il faut mourir.
Même si elle a un motif surnaturel, la joie des pauvres humains laisse toujours un arrière-goût d’amertume. — Que croyais-tu ? — Ici-bas, la douleur est le sel de notre vie.
C’est tout un programme que l’apôtre Paul nous trace pour apprendre avec profit la matière de la douleur : spe gaudentes, joyeux par l’espérance, in tribulatione patientes, endurants dans l’épreuve, orationi instantes, constants dans la prière.
Qu’il est beau de perdre la vie pour la Vie !
Tu as peur de la pénitence ?… Cette pénitence qui t’aidera à gagner la Vie éternelle ? — Ne vois-tu donc pas, en revanche, comment, pour conserver cette pauvre vie d’à présent, les hommes se soumettent aux mille tortures d’une sanglante opération chirurgicale ?
Ne demande pas seulement à Jésus le pardon de tes fautes : ne l’aime pas seulement dans ton cœur…
Répare toutes les offenses qu’on lui a faites, qu’on lui fait et qu’on lui fera… Aime-le de toute la force de tous les cœurs de tous les hommes qui l’ont le plus aimé.
Sois audacieux : dis-lui que tu es plus éperdument amoureux de lui que Marie-Madeleine, plus que Thérèse et la petite Thérèse…, plus fou qu’Augustin, Dominique et François, plus qu’Ignace et François-Xavier.
Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/book-subject/camino/17876/ (7 mai 2024)