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8 points de « Forge » sont liés à la thématique Compréhension → charité.

Que ta charité soit pleine de joie, de douceur et de force, pleine d’humanité et d’esprit surnaturel ; une charité cordiale, qui te rende capable d’accueillir chacun, avec un sourire sincère et habituel ; une charité qui te rende capable de comprendre les idées et les sentiments des autres.

 — Ainsi, dans la douceur et la force, sans te laisser aller à aucune concession ni dans ta conduite personnelle ni en matière de doctrine, la charité du Christ — une charité bien vécue — t’animera d’un esprit de conquête, et plus grande sera chaque jour ta soif de travailler pour les âmes.

Quelle insistance que celle de l’apôtre saint Jean quand il prêchait le « mandatum novum » ! — « Aimez-vous les uns les autres ! »

 — J’aurais envie de me mettre à genoux, — et ce n’est pas là de la comédie, car c’est mon cœur qui me le crie — pour vous demander que, pour l’amour de Dieu, vous vous aimiez, vous vous aidiez, vous vous donniez la main, vous sachiez vous pardonner.

 — Repoussez donc l’orgueil, montrez-vous compatissants ; vivez la charité ; rendez-vous les uns aux autres le service de la prière et de l’amitié sincère.

Juger en toute droiture d’intention suppose un cœur pur, un zèle pour les affaires de Dieu et l’amour des âmes sans préjugés.

 — Médite cela !

Quand je te parle du « bon exemple », je veux par là t’indiquer que tu dois savoir comprendre et pardonner, que tu dois savoir remplir le monde de paix et d’amour.

Pour répondre aux pierres qu’ils te jettent, prends l’habitude de lancer toi aussi des pierres à ces pauvres « haineux », sous la forme d’Ave Maria.

Sois aimable, affectueux pour celui qui se trompe. Fais preuve envers lui de charité chrétienne. Mais pas de compromis avec ce qui va à l’encontre de notre sainte Foi.

Quand le chrétien comprend et vit la catholicité, quand il mesure l’urgence qu’il y a à annoncer la Bonne Nouvelle du salut à tous les hommes, il sait que — comme l’enseigne l’Apôtre — il doit se faire « tout à tous, pour les sauver tous ».

Tu dois aimer tes frères, les hommes, au point que même leurs défauts — quand ils n’offensent pas Dieu — ne t’apparaissent pas comme des défauts. Si tu n’aimes que les bonnes choses que tu vois chez les autres, si tu ne sais pas comprendre, excuser, pardonner, c’est que tu es un égoïste.

Références à la Sainte Écriture
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