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L’Église n’a que faire de femmes bonnes ou d’hommes bons. — De plus, celui qui se contente d’être presque… bon, ne l’est jamais suffisamment : ce qu’il faut, c’est être « révolutionnaire ». Face à l’hédonisme, face à la charge de paganisme et de matérialisme qui nous est offerte, le Christ a besoin d’anticonformistes, de rebelles de l’Amour !
Confrontés à la pression et à l’impact d’un monde matérialisé, hédoniste, sans foi… comment peut-on exiger et justifier la liberté de ne pas penser comme « eux », de ne pas agir comme « eux » ?…
— Un enfant de Dieu n’a pas besoin de demander cette liberté, parce que le Christ nous l’a désormais gagnée à tout jamais : il doit néanmoins la défendre et la manifester dans n’importe quel milieu. C’est seulement ainsi qu’ « ils » comprendront que notre liberté n’est pas liée à l’environnement.
Ce qui est nécessaire pour atteindre le bonheur, ce n’est pas une vie facile, mais un cœur plein d’amour.
Le christianisme est « insolite », il ne se conforme pas aux choses de ce monde. Et c’est peut-être là son « plus grand inconvénient », et le signe de ralliement des mondains.
Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/book-subject/surco/15643/ (4 mai 2024)