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Tu m’écris : « Le désir véhément que nous avons tous de voir « cela » marcher et se développer, on dirait qu’il tourne en impatience. Quand cela va-t-il bondir, éclater ?… Quand verrons-nous le monde à nous ? »

Et tu ajoutes : « Ce désir ne sera pas inutile si nous lui donnons libre cours pour « forcer » et importuner le Seigneur : nous aurons alors gagné un temps énorme. »

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