857
Cet ami nous confiait sincèrement qu’il ne s’était jamais ennuyé, parce qu’il ne s’était jamais senti seul, jamais sans notre Ami.
— Le jour tombait, dans un silence épais… Tu as senti comme elle était vivante, la présence de Dieu… Et quelle paix l’on trouve, dans une telle réalité !
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/857/ (27 avr. 2024)