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Tu prodigues ta tendresse. — Et je te dis : charité pour ton prochain, oui, toujours. — Mais — écoute-moi bien, âme d’apôtre — il est pour le Christ et pour lui seul cet autre sentiment que le Seigneur lui-même a mis dans ton cœur. — De plus… n’est-il pas vrai qu’en ouvrant un des verrous de ton cœur — et tu as besoin de sept verrous — un petit nuage de doute a flotté plus d’une fois sur ton horizon surnaturel… ? Tourmenté, malgré la pureté de tes intentions, tu t’es alors demandé : n’ai-je pas été trop loin dans les manifestations extérieures de mon affection ?
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/camino/161/ (28 mars 2024)