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« En tant que chrétien, que ne dois-je pas à Dieu ! Pour n’avoir pas acquitté cette dette, j’ai pleuré de douleur : douleur d’amour. Mea culpa ! » — Il est bon que tu commences à reconnaître tes dettes ; mais n’oublie pas qu’elles se paient avec des larmes… et avec des œuvres.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/camino/242/ (29 mars 2024)