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Tristesse, accablement. Cela ne m’étonne pas : c’est le nuage de poussière soulevé par ta chute. Mais assez ! Le vent de la grâce n’aurait-il pas chassé au loin ce nuage ?
Et puis ta tristesse, si tu ne la repousses pas, pourrait bien être aussi l’enveloppe de ton orgueil. — Te croyais-tu donc parfait et impeccable ?
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/camino/260/ (20 avr. 2024)