295Si tu n’es pas maître de toi-même, quand bien même serais-tu puissant, ta puissance m’afflige et me fait rire.ThèmesCaractère → formation du caractèreForce d’âmeMaîtrise de soiVolonté → lutte Choisir une autre langue SélectionnerEspañol (original)БългарскиCatalàČeskyDeutschEnglishBasqueHrvatskiItaliano日本語한국어LietuviškaiLatviešuMagyarNederlandsPolskiPortuguês BrasileiroPortuguêsRomânăРусскийSlovenskySlovenščinaSvenska简体中文繁體中文Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/camino/295/ (28 mars 2024)