444
Ne médis jamais de ton frère, même si tu n’en as que trop de motifs. — Approche-toi d’abord du tabernacle, puis va t’en ouvrir au prêtre, ton père, et confie-lui ta peine, à lui aussi.
— Et à nul autre.
Thèmes
Choisir une autre langue
Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/camino/444/ (23 avr. 2024)