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Tu as raison. — Dans le panorama qu’on découvre au sommet et qui s’étend sur des kilomètres, m’écris-tu, on n’aperçoit pas une seule plaine : derrière chaque montagne, une autre montagne. Lorsque le paysage semble en quelque endroit s’adoucir, la brume qui se dissipe laisse paraître un massif jusqu’alors resté caché.

Tel est, tel doit être l’horizon de ton apostolat : il faut parcourir le monde. Nul chemin cependant n’est préparé pour vous… Vous devrez le frayer à travers les montagnes, à la force de vos pas.

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