1036
Il m’ouvrait son âme : « Je pensais ces jours-ci à la mort comme à un repos, malgré mes crimes. Et je me disais : si l’on m’annonçait « l’heure de mourir est arrivée », avec quelle joie je répondrais « l’heure de Vivre est arrivée. »
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/1036/ (25 avr. 2024)