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Ô Vierge Immaculée ! Ô ma Mère ! Ne m’abandonnez pas ! Voyez comment mon pauvre cœur fond en larmes.
— Je ne veux pas offenser mon Dieu !
— Je le sais bien, et je pense que je ne l’oublierai jamais, que je ne vaux rien ; comme me pèsent ma petitesse et ma solitude ! Mais… je ne suis pas seul : ô vous, ma Douce Dame, et toi, Dieu mon Père, vous ne m’abandonnez pas !
Face à la rébellion de ma chair et aux raisons diaboliques qui se dressent contre ma foi, j’aime Jésus-Christ et je crois : j’Aime et je Crois.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/215/ (20 avr. 2024)