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La sécheresse intérieure n’est pas de la tiédeur. Chez le tiède, l’eau de la grâce n’imprègne rien : elle ne fait que couler… En revanche il est des terres sèches à l’aspect aride et qui, grâce à quelques gouttes de pluie, se recouvrent en leur temps de fleurs et de fruits savoureux.
Quand nous persuaderons-nous donc de l’importance d’être dociles aux appels divins de chaque instant ? C’est précisément là que Dieu nous attend !
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/224/ (23 avr. 2024)