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Pour dominer l’ombre du pessimisme qui t’assaillait ce matin-là, tu as une fois de plus insisté, comme chaque jour, mais en « provoquant » davantage ton ange gardien. Tu lui as adressé des gentillesses ! Et puis tu l’as prié de t’apprendre à aimer Jésus au moins, au moins autant qu’il l’aime, lui… Et tu t’en es trouvé si tranquille.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/271/ (17 avr. 2024)