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Un enfant sot s’agite et trépigne quand, pleine d’affection, sa mère introduit une aiguille dans son doigt pour en retirer l’épine qui s’y était plantée… L’enfant sage, même s’il a les yeux pleins de larmes — car la chair est faible — regarde, reconnaissant, sa bonne mère qui le fait souffrir un peu pour lui épargner un mal plus grand.
— Jésus, fais que je sois cet enfant sage.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/forja/329/ (18 avr. 2024)