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Rattrape le temps que tu as perdu pour t’être reposé sur les lauriers de ta propre complaisance, te croyant un honnête homme, comme s’il suffisait d’avancer à ton rythme, sans voler ni tuer. Accélère le rythme de ta piété et de ton travail : il te reste encore tant de chemin à parcourir ! entends-toi bien avec tous, également avec ceux qui te gênent ; et efforce-toi d’aimer (pour les servir !) ceux que tu méprisais auparavant.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/167/ (23 avr. 2024)