651
Tu laisses parfois éclater ton mauvais caractère : en plus d’une occasion il affleure, avec une dureté extravagante. D’autres fois, tu ne cherches pas à amender ton cœur et ta tête, pour que la Très Sainte Trinité y trouve sa douce demeure… Et toujours, tu finis par te retrouver un peu loin de Jésus, Lui que tu connais si mal…
— De la sorte, tu n’auras jamais de vie intérieure.
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Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/651/ (24 avr. 2024)