861
Tu commets encore des étourderies et des fautes, et comme elles te font souffrir ! En même temps, tu poursuis ton chemin avec une joie à en exploser, dirait-on.
C’est justement parce qu’ils te font souffrir, souffrir d’une douleur d’amour, que tes échecs ne t’enlèvent plus la paix.
Choisir une autre langue
Document imprimé depuis https://escriva.org/fr/surco/861/ (18 avr. 2024)