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« Non habemus hic manentem civitatem » — notre demeure définitive ne se trouve pas sur cette terre. — Et, pour que nous ne l’oubliions pas, cette vérité apparaît parfois crûment à l’heure de la mort : incompréhension, persécution, mépris… — Et toujours la solitude, parce que, même si nous sommes entourés d’affection, chacun est seul, tout seul à mourir.

— Larguons donc toutes les amarres ! Préparons-nous constamment à ce passage, qui nous conduira à la présence éternelle de la Très Sainte Trinité.

Références à la Sainte Écriture
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